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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 07:35
En fait l'essentiel de la vie politique est désormais consacrée à la mise en ligne médiatique des annonces que l'on à faire. Quitte à démentir la vérité de la veille par un rectificatif du lendemain et une reculade d'après-demain, les gouvernants de tous les pays savent qu'ont ne revient jamais sur une bonne première impression. C'est le cas pour le sarkozysme qui s'épuise dans des aller-retour démoralisants pour ses troupes mais qui ne semble avoir aucune prise sur l'opinion dominante qui refuse les réformes mais ne fait absolument pas confiance aux maigres solutions proposées par l'opposition. Partout le masque de la réforme craque aux entournures. Il se lézarde dans tous les secteurs. Il s'effrite sous l'influence d'un vent mauvais venu du large, c'est à dire du reste du monde. Hier le gazole a pulvérisé ses records avec le risque de devenir plus cher que... le sans plomb !
Les prix du gazole, de l'essence et du fioul domestique ont atteint de nouveaux records la semaine dernière, dans le sillage de la flambée du pétrole brut, selon des chiffres de l'Union française de l'industrie pétrolière (Ufip) publiés hier sur son site. Le litre de gazole, carburant le plus consommé en France, dépassait 1,41 € le litre, à 1,4105 €, après un record de 1,3480 € la semaine précédente, précise l'Ufip. Celui de l'essence SP95 est monté à 1,4454 €, contre 1,4155 € une semaine plus tôt. Quant au prix du fioul, il a atteint 0,9627 € le litre contre 0,9080 €. Ce sont les réalités réduisant à néant toutes les affirmations sur le pouvoir d'achat. Les familles sans transport collectif vont être les premières victimes de l'étalement urbain avec ses conséquences terribles sur le coût du déplacement quotidien « domicile travail ». Conjugué parfois à des taux d'emprunts variables pour l'habitation ou la consommation, l'effet « pétrole » va générer une crise du crédit en France. Aucune mesure ne parviendra à juguler cette réalité d'autant que la précarisation de l'emploi n'arrange pas l'angoisse qui monte dans les « pavillons » français. Les promesses gouvernementales non tenus (NDLR : j'ai à de nombreuses reprises démontré qu'elles ne se seraient jamais dans un tel contexte) vont conduire à un désenchantement très dangereux vis à vis du politique.
Le mouvement des marins-pêcheurs contre la hausse du prix du gazole s'est amplifié sur une grande partie du littoral atlantique, de la Manche et de la Méditerranée, avec les blocages des dépôts de... carburants de La Rochelle et du port pétrolier de Lavera près de Marseille. Du Pas-de-Calais aux Bouches-du-Rhône, les marins bloquent l'accès aux ports ou laissent les bateaux à quai en attendant la réunion du comité de suivi du plan d'aide de la filière, de 310 millions d'euros sur trois ans, que doit présider le ministre de l'Agriculture et de la Pêche.
Michel Barnier s'est dit prêt hier soir à envisager une mise en place « plus rapide » et des « compléments » à ce plan annoncé en janvier dont on sait qu'il n'a pas encore été appliqué.
LA GUERRE DU PETROLE
Les premiers effets du blocage des dépôts ont été ressentis à La Rochelle où des stations service ont été prises d'assaut par les automobilistes craignant une éventuelle pénurie. Les dépôts de carburant du port de commerce, qui alimentent tout le Centre Ouest, sont bloqués depuis dimanche soir. Le mouvement de grogne des professionnels a gagné lundi la Méditerranée où l'accès au port pétrolier de Lavera (Bouches-du-Rhône) a été bloqué dans la matinée. Le dépôt de carburant du port de Sète (Hérault) a également été bloqué. L'essentiel du financement du plan d'aide aux pêcheurs proviendra d'une taxe de 2% prélevée sur la vente de poissons dans la grande distribution.
Le problème c'est que, comme tous les observateurs lucides l'avaient annoncé, ces mesures insuffisantes dans le contexte actuel n'ont toutefois pas encore été appliquées dans l'attente d'un feu vert de la Commission européenne qui entend s'assurer qu'il est en conformité avec la législation de l'UE, stricte, sur les aides d'Etat. Il leur faut donc patienter alors que leur trésorerie est détruite et que les banques tiennent le sort des armateurs ou des « patrons » entre leurs mains. « Les aides promises seront versées » mais « il faut regarder port par port », a expliqué Eric Woerth le plus orthodoxe des libéraux du gouvernement prêt pour sa part à laisser mourir les « canards boiteux » quelles qu'en soient les conséquences sociales. « Je sais qu'il y a certain nombre de manifestations dans quelques ports sur la façade atlantique. C'est un métier particulièrement difficile, économiquement extraordinairement tendu3, a reconnu le ministre du Budget, qui a rappelé que le gouvernement a « déjà beaucoup fait sur le plan du pétrole, du gasoil des bateaux ». Il est gonflé le bougre puisqu'il précise quelques minutes auparavant que les promesses ne sont pas... encore réalisées pour les estimer ensuite déjà trop élevées. Il aurait dû avoir le même réflexe au moment du paquet cadeau fiscal et retarder sa mise en œuvre ! dommage.
PLUS PUISSANTS QUE LES ENSEIGNANTS
Ce mouvement qui paraît à la marge car les marins pêcheurs ne sont pas majoritaires sur l'échiquier social ! mais comme il y a des frémissements de révolte parmi les... transporteurs routiers on pourrait vite déboucher sur une crise majeure. On sait en effet que pour la vie quotidienne l'alimentation en carburant est beaucoup plus fondamentale que le... service minimum dans les écoles ! Encore une fois Nicolas Sarkozy a raté la cible car les parents sont davantage obsédés par le relevé de leur compte en banque que par le relève de notes du « petit ». Par pur entêtement idéologique, la Droite « la plus bête du monde » selon une formule venue de son propre camp s'égosille à nier l'évidence ou à se réfugier devant des rideaux de fumée qui doivent dissimuler son incapacité à gérer une situation de crise. La puissante Fédération des entreprises de transport et logistique de France (TLF) a réclamé au gouvernement "un plan d'urgence comportant des mesures, avec application immédiate ou à court terme". Le prix du gazole a grimpé de 16,72% depuis janvier 2008, et de 37,64% depuis janvier 2007, selon la TLF. Selon cette fédération, la part du carburant dans les coûts d'exploitation d'un véhicule de transport routier est de 28%, mode de transport qui subit "par ailleurs, de plein fouet une forte augmentation des autres postes de coût", comme les péages d'autoroutes "+25% en 3 ans" ou encore le coût du matériel.
Si ce sont des patrons de Droite qui l'affirment ils ont plus de chances d'être entendus que de malheureux ouvriers de gauche contraints en fait de travailler beaucoup plus pour gagner finalement encore moins. Avec un bon millier de camions ils peuvent être plus efficaces que des dizaines de milliers d'enseignants dans les rues. Il suffit de les placer une nuit aux bons endroits pour nuire à tout les travailleurs... mais eux ce sera pour la bonne cause alors que ces « minables » de fonctionnaires ne le font que par pur sectarisme ! Cette semaine il n'y aura plus aucun transports collectifs le 22 mai et... on ne se tracassera pas en haut lieu des désagréments causés au Peuple qui bosse. Tenez je prends les paris que Nicolas Sarkozy ne s'adressera pas à la nation jeudi soir contrairement à la semaine dernière. Jeter de l'huile sur un feu qui couve c'est en effet possible une fois mais pas deux.
COUAC SUR COUAC
Pendant que la contestation gagne du terrain si ce n'est dans les rues mais au moins dans les esprits la cacophonie que l'on croyait l'apanage d'un PS ressemblant à la Yougoslavie d'après Tito se développe jour après jour au sein de ce qui fut une majorité présidentielle. Copé encore plus arrogant dans les interviews après une bourde comme celle du vote de la loi OGM que quand il est en réussite se réfugie dans une agressivité pitoyable. La palme d'or revient cependant à l'inimitable Devedjian qui se croît encore secrétaire général d'une Ump qui « demande avec force le démantèlement définitif du dispositif des 35 heures » dès 2008. « Nous souhaitons (qu'on) arrive enfin à ce que la durée du travail soit contractuelle, entreprise par entreprise », a-t-il ajouté. " Ce que nous voulons, c'est que la durée du travail soit fixée entreprise par entreprise par la négociation sociale. » Prié de dire si cela signifiait la fin de la durée légale du travail en France, il a répondu : « Oui (...) Ça cessera d'être un système national ».
Le plus grand gaffeur que l'on ait jamais vu à la tête de l'Ump avait oublié qu'il tuait ainsi par cette affirmation péremptoire le fameux « gagner plus en travaillant plus » de son patron car pour pouvoir travailler plus il faut qu'il existe un repère quantitatif. Détruire les 35 heures c'est de fait anéantir le plan sur les... heures supplémentaires et abandonner tout espoir de tromper les salariés sur leur pouvoir d'achat. La sanction a donc été immédiate : quelques heures plus tard, il était démenti par son secrétaire général adjoint, Xavier Bertrand. « Il faut aussi maintenir une durée légale du travail à 35 heures parce que c'est ce qui permet de déclencher la majoration des heures supplémentaires » a évidemment ajouté le nouveau Dieu des négociations sociales. Selon l'entourage du président Nicolas Sarkozy, l'idée est, tout en maintenant la durée légale à 35 heures, de rétablir la liberté de négociation dans les entreprises sur les contraintes liées à cette durée - repos compensateurs, contingentement des heures supplémentaires, forfait jours pour les cadres, etc. « Référez-vous à ce qu'à dit Xavier Bertrand. Comme toujours, il a bien parlé », a-t-il dit à des journalistes à son arrivée au 10e anniversaire de la Fondation de la 2e chance. L'Ump n'a plus qu'à la boucler.
« La demande de notre mouvement c'est que nous en sortions définitivement et non pas à chaque fois par des mesures qui en réduisent la portée mais qui finalement en laissent l'esprit maintenu », a pour sa part clamé sûr de ses troupes Patrick Devedjian. « Je souhaite que ceux qui seraient tentés de s'opposer à cette évolution (la fin des 35 heures) sachent que l'UMP est déterminée sur ce terrain. » dans le climat social actuel sur le pouvoir d'achat, les retraites, le service minimum dans les écoles, les suppressions massives de postes de fonctionnaires, le détournement des franchises médicales, l'agacement européen sur nos déficits, est-ce le vraiment le moment de... se lancer dans une bagarre aussi idéologique ? J'en doute.
Mais je déblogue...
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M
<br /> Discriminez le vrai du faux pour souffrir d’Entendre ses plus récentes difficultés,être mis constamment au banc d’essai relève de moralité à l’Épreuve des sens. Sens (physiologie)<br /> <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> les sens sont des organes Les sens et leur fonctionnement, leur classification, et la théorie épistémologique qui soutient leur étude sont des sujets abordés par plusieurs disciplines, principalement les neurosciences, mais aussi la psychologie cognitive (ou science cognitive), et toutes les philosophies ayant trait à la perception.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Sommaire<br /> <br /> [masquer]<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 1<br /> <br /> Définition <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2<br /> <br /> Sens et empirisme <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 2.1<br /> <br /> Perception visuelle (vue, vision) <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.2<br /> <br /> Ouïe <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.3<br /> <br /> Goût <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.4<br /> <br /> Odorat (olfaction) <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.5<br /> <br /> Toucher <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.6<br /> <br /> Thermoception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.7<br /> <br /> Nociception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.8<br /> <br /> Équilibrioception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.9<br /> <br /> Proprioception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.10<br /> <br /> Cénesthésie <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 2.11<br /> <br /> Faim et Satiété <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 3<br /> <br /> Sens non-humains <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 3.1<br /> <br /> Électroception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 3.2<br /> <br /> Magnétoception <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 3.3<br /> <br /> Écholocation animale <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 4<br /> <br /> Critique <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 5<br /> <br /> Voir aussi <br />  <br /> <br />  <br /> <br /> 6<br /> <br /> Lien externe <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Dfinition <br /> Dfinition <br /> <br /> Il n'y a pas d'accord vritable des neurophysiologistes sur le nombre exact de sens en notre possession. La multiplicit des rapports entre le monde sensible et le monde intelligible laisse augurer des difficults rencontres dans la recherche d'une dfinition prcise. Une dfinition consensuelle voudrait assimiler les sens un systme reliant un capteur ou un groupe de capteurs une nergie extrieure analyse. Plus communment, une dfinition largement rpandue sous-entend le monde sensible comme restreint celui dlivr par nos cinq sens<br /> Aujourd'hui, la dfinition la plus largement admise est celle qui fait de nos sens un systme de capteurs reliant des systmes nergtiques externes des cellules ou un ensemble de cellules neuronales. Ces cellules ou ces rseaux de cellules, ont pour rle de rpondre un type bien spcifique de stimuli pour dlivrer une information. La rponse de ces capteurs serait alors gradue selon l'nergie mise en jeu. Les thories neurophysiologistes de l'tude du cerveau considrent lapprentissage opr comme une modification de lintensit de couplage entre les neurones au niveau cortical, modification qui cre un rseau particulier, un ensemble neuronal permettant de relier plusieurs rgions du cerveau.<br /> Mais le terme de sens peut revtir deux aspects bien diffrents suivant que lon soit en prsence d'une communication immdiate (donc instinctive) ou mdiate (donc rationnelle, scientifique). Malebranche rattachait le monde rel la raison et le monde sensible un monde illusoire et trompeur. En fait, les sens ne sont pas uniquement des transducteurs permettant la mesure de paramtres. Toute vision rductionniste assimilant la perception une configuration crbrale semble donc illusoire. Les sens sont les instruments de notre perception, c'est--dire le lien qui nous relie au monde extrieur et qui nous permet de reconnatre, grce l'interprtation donne par la pense et la connaissance les informations qui, parmi l'ensemble de celles nous parvenant, pourraient nous tre utiles.<br /> <br /> Or, si les taire relve dune emprise sur soi plus que les autres, la direction se fonde encore sur lpreuve des sens. Les affirmer ou les dcouvrir sans preuves existent pourtant, mme sans reconnaissance particulire, ainsi distinguer ses sens travers lpreuve reste une diffrence sujette tout simplifier donc qui relve de labsurde. Maintenant, ceux qui veulent prouver par labsurde que tout existe et que pour faire avancer les diffrences, notamment avec ou sans preuves sensitives, le trop plein de nos sens, a un sens, libre lanatomie comme la sant de nos sens tre pay en retour. Visiblement, le vrai du faux est dj une preuve criminelle que lon retrouve dans toutes lhistoires des relations, le vrai du faux a tenter de maintenir la souffrance des sens comme une tape ultime de la mdecine, en perdant les sens plus que lpreuve, la dcision initiale avait en elle mme un sens plein quil nest gure convainquant de devoir revoir linitiation travers son hasard justement parce que la dcision semble lui appartenir, ceux qui prouvent avant mme lpreuve que nos sens sont incomplets font monter des enchres qui divisent au lieu de maintenir le phnomne dans sa circonstance, puissent continuer rgner des circonstances sur le faux du vrai, ou mme sur le vrai du faux, pour nourrir le droit de ne pas saligner sur lorganisation facile et aise des hommes face aux innombrables difficults nous faire comprendre sans souffrir du vrai ou sans jouir du faux, en nourrissant la mme collecte et non la mme vrit, nous nourrissons le rvolu comme le monde des ides nous en prcise lallusion aux diffrences conues davance, ce qui montre dinstinct que ce qui reste nous manquerait encore par simple systme dauto influence et donc de gratuits, . Sens et empirisme<br /> <br />  <br /> <br /> De par cette dfinition assez vaste, plusieurs sens peuvent tre identifis. L'inventaire de ces sens peut d'ores et dj s'enclencher par la dfinition aristotlicienne retenant ces cinq sens, juste titre familiers aux lecteurs. Aristote, en opposition avec Platon, dcrivait lapprentissage des rgles qui gouvernent les rapports physiques des lments entre eux, la construction des lois universelles, comme fonde sur nos sens. Cette cole aristotlicienne sera l'origine de la doctrine pistmologique de l'empirisme.<br /> <br /> <br />  <br /> Se contenter de rester empreint de mélancolie avec son empreinte pleine et entière, mélancolique reste non pas une valeur inné sur le sens donné à la discrimination nouvelle, celle qu’on entend positivé sur sa position initiale ou sur sa position différente, tout ceci relève d’une marginalité et donc d’une grande déresponsabilisation sur la positivité de nos sens. Ainsi, l’énorme bond sans parler du reste as-t-il son sens lorsque les luttes régulières sont différentes et le plus souvent sortit non pas de nos solutions ou de nos cultures. Ainsi, plus les erreurs non pas s’exécutent sans peine, plus il est facile d’exécuter les difficultés sans y souscrire après, dans la petite enfance comme en fin de vie, la prévention n’a rien inventer pré sens et près trajet domicile, travail, etc.. ou se taire sans oublier, l’influence par peur du ridicule nous gêne et nous le savons en tout cas moins que nous le vivons face à l’organisation rationnelle d’une connaissance fondée non pas sur raison familiale, la raison sociale ou sur la raison normale, nous pourrions vraiment nous en sortir avec la valeur d’une suprématie hors hiérarchie première du sens plein et non du sens issue de notre hiérarchie première, ne serait-ce que pour relancer en nous plus que vers les autres cette aventure idéale qui naît des autres, mais qui continue à nous convaincre jusqu’à nourrir l’affliction et non simplement plus ou moins nous-même jusqu’à s’en contenter, par malheur pour tout tenter de vaincre, la connaissance des évènements ne nous contient à travers des valeurs isolationnistes, si le protectionniste tente de géré ce que nous avons de faux, En physiologie, les sens sont des dispositifs de perception d'informations chez l'homme et l'animal. <br />  <br /> <br /> <br /> Linguistique<br /> <br />  <br /> <br />  <br /> Signification, contenu conceptuel d'une expression (mot, syntagme, phrase, énoncé...). <br />  <br /> <br /> <br /> Voir : Sens, Signifié, Sémantique, Sens et dénotation.<br /> <br /> Mathmatique<br /> <br />  <br /> <br />  <br /> Orientation (sens direct ou rétrograde). <br />  <br /> <br /> <br /> Voir aussi le sens trigonométrique.<br /> <br /> Philosophie<br /> <br />  <br /> <br /> Traditionnellement, pour la philosophie, le sens renvoit trois dimensions:<br /> <br /> <br />  <br /> Le sens comme orientation. "Dans quel sens, dans quelle direction je vais". <br />  <br />  <br /> Le sens comme sensorialité. "Est-ce que je sens ou pas"? <br />  <br />  <br /> Le sens comme signification. "Qu'est-ce que ça veut dire, quel sens ça a"? <br />  <br /> <br /> <br /> La recherche du sens renvoie l'art de l'interprtation, on parle galement d'hermneutique lorsqu'il s'agit par exemple de questionner un texte ancien.<br /> <br /> Mdecine<br /> <br />  <br /> <br />  <br /> Un projet visant à une extension radicale de l'espérance de vie humaine. <br />  <br /> <br /> <br /> Voir : SENS (page en français) : Strategies for Engineered<br /> <br /> ce n’est pas pour rassurer son ego ou alimenter la méfiance que par exemple l’existence de quelques faits horribles nous nourrit notre ego en le rassurant ou en tentant de méconnaître l’essentiel à travers ce qui pourtant créé la stupeur dès la première rencontre avec les faits. Des faits qui pour que quelque chose de plus fort existe semblent nuls dès le plus jeune âge selon que l’on ait porté son attention vers son égo comme vers les réalités horribles mêmes si ces réalités appellent le combat comme il est bon de le rappeler au monde nourrit ou pas d’afflictions même s’il ne se passe rien en termes creux de combattants à l’exercice d’une idéologie plus convaincante que sa propre crainte matérialiste. Ainsi sur toute la volonté de faire sans refaire, il semble que nous sommes bien plus prêts d’une valeur fondée sur la dérision unanime du vrai sur le faux, d’ailleurs, il n’est pas normal qu’un fait majeur soit occulté par les hommes et que l’on trouve anormal à l’instar d’une minorité universitaire s’en émeuve à chaque normalité unanime fondée sur les nuances et les normes transparentes dignes d’impunités physiques ou psychiques selon l’analyse commise par la théorie et la pratique du problème, là où la théorie de la solution est nécessaire pour essayer ou se contraindre à relativiser le Fondement de toutes interventions à valoir juridiquement ou essentiellement hors normes essentielles à l’action comme à l’obligation d’y être mêlé. La valeur psychologique en relation, plus tard reste sans compter les transgressions mentales des faits rapportés et qui dérangeront toujours les faits ressemblants, ainsi notre sensibilité primaire est inférieure,elle est pourtant celle qui quant aux fondements se portent sur les sens comme sur le trajet d’une différence basée sur une culture qui s’imprime à l’inverse pourtant de l’ivresse des sens, l’effondrement ou la résistance comme la mise en œuvre, à contrario, d’une mise à part en terme de bonheur reste une évaluation d’usage multiple, dont le sérieux, au lieu d’une souffrance occasionnelle témoigne d’une offre incessante assise sur la trop grande assise culturelle et incestueuse qu’on nous évalue toujours en oubliant le meilleur de notre propre évaluation, quant celle est à la fois sure et reconnue ce qui trois fois sur quatre nous remet sur notre différence comme sur nos difficultés à gérer plutôt qu’à se contenter de protéger au risque de se trahir. Ainsi, lorsque je connais une demande plus effective en terme de contacts, cette dite reprise s’effondre, sans confiance occulte n’importe quoi, et à travers cela la vraisemblance, la nourrir me ramène très loin en arrière sans doute sans savoir si mourir revient à tout recommencer, qu’importe remettons les pendules à l’heure comme si nous remontions le temps à l’inverse des obligations à disparaître et nourrissons la réalité du départ pour tous, un jour nouveau, plutôt qu’un jour incertain et neuf, . Ceci est fondamental quand à la couleur de l’étude animée d’un brusque laissé pour compte, de la part digne d’être reconnue majoritaire en nombre incalcalculable, on se dirais visité d’un mot neuf, la transversalité abrupte et acide de la naissance inter active portée sur la raison simple d’un homme, de la déraison judiciaire et civilement impliquée,de son action sur les troubles d’humeurs, notre mémoire ne peut parfois plus transgresser ce qu’elle contient, bons troubles d’humeur ou simplement attentat à une valeur d’honneur désopilant et trop factuel pour s’affirmer, nous connaissons tous ces troubles. Alors quant à leur réel échange inter générationnel, la méchanceté reste l’agression libre et contenue que la valeur illustre de façon certaine, il ne s’agit plus des termes de l’échange, mais de l’intérêt d’y surseoir en assouvissant sa demie chance d’aboutir à tout restructurer en soi, ce concept s’abat sur l’impossibilité de s’y méprendre tel que ce concept accusera toujours à tord la part du droit à y surseoir de façon hygiéniste ou introduite, une culpabilité comme on accuserait une virtualité du mental sur le psychisme. De la part du nombre de plaintes comme celles qui permettent au contenu de tout suicider au procédurier avant d’être consommé d’avance par le règlement et avaler post période d’activités et de façon toujours idéale, il faut tenter de vérifier à l’extase des mots la part sensible de son évaluation, son sentiment d’efficience à travers son esprit et non sa lettre prête à l’emploi pour vous faire succomber à une valeur statutaire, celle qui encore et encore oublie les nuances à travers des questions qui semblent appartenir à une réponse théorique très accessoire du vécu et surtout très autoritaire en matière de discussion lorsque de trop consommé d’assurance ou d’exemple vaincu fait de l’homme, un éternel plaignant. . La vraisemblance de la part d’une plainte, voire l’assistance hyper sophistiquée auquel peut prétendre d’une société fondée sur la réalité et sur moins de désirs révèle une théorie trop forte et une assistance pratique trop faible pour joindre la réalité de sa vraisemblance telle que l’enseigne notre culture, une culture parfois inutilisable et c’est cela aussi le drame, une trajectoire sur laquelle on ne peut plus revenir de son vivant sans compter que sa beauté s’engage seule. D’ailleurs les sur critiques sur le sens inné des hommes sont absentes du ressentir théorique, ceci révèle un drame existentiel trop maintenu sur le concept extravagant que nourrit sur du complexe structurel proche de l’acquis de conscience qui laisse froid toute relations, des relations juteuses mis sans assimilation, ou bien engagé, vers ce qu’on a non pas créé mais suivi, trop fortement sur soi et sans cette isolation filiative qu’attends ceux qui empreinte un chemin plus difficile sans doute moins empreint de mélancolie mais qui déraisonne le meilleur des hommes quand l’isolation filiative est trop forte. Ainsi l’événement malsain appelle l’événement malsain, l’avènement du meilleur de l’instinct, et du plus vrai d’entre nous. . Déraisonner l’intellectuel, par fierté, comme par haute trahison hiérarchique, et faire de la méprise le meilleur de la part d’une défense revient à créer l’anarchie vers des intérêts engagés sur les mêmes deniers apparents qui relèvent de l’exclusion mais aussi de la consommation d’idées maîtresses et largement vicieuses. Ainsi, contre l’Etat, sans l’avoir soi même vécu, les choses constatées n’empêchent jamais les erreurs qui isolent les remèdes, on ne peut dire en public ce que l’on dit face à un chef de gouvernance ou d’idées symboles, la forme que l’on croit mettre au premier rang n’engage qu’une différence, et à elle seule cette différence s’engage pour longtemps à extraire, une règle bien moins qu’un règlement, d’où une lacune nourrit de singuliers passages à l’oralité alors que ce que l’on vous oblige à dire, surtout si la part essentielle est cru reste la valeur incertaine de nos formes dissuasives contre lesquelles, il ne faut pas mentir et toujours resté au pire résolument égal à soi même avant d’être égal aux autres, reniement non pas mais maniement de stratégie en terme de maniement d’intérêt fondée sur la raison ou sur le règlement de votre trajectoire et fondée aussi sur l’état d’âme filiatif dont tous nous sommes asservis face à un fléau commun . Trouble d’impuissance innée et malhabile qui nous assaille depuis toujours , ceci est une foutaise dirons ceux qui la maintienne à l’inverse une fois n’est pas coutume oubliant leur problèmes filiatifs et leur réel évitement de toujours en termes croisés, là où l’ intime est basé sur la raison pure, là où cette raison pure triomphe avec frivolité des raisons qui y sont intimement et fallacieusement lié, ceux qui avec joie auront des possibilités pures de contraindre plutôt que subir doivent exercer leurs droits et souvent leurs idéaux sociaux face à la culture du règlement, des sujets et surtout des dites « officialités conjoncturelles » contre lesquelles la logique , individus à travers sa personnalité ne peut rien attendre si ce n’est l’assise intransigeante de l’affect qu’il faut relier à la valeur du mensonge et du drame occulté, en tous lieux normalement clos en petit comité et auxquels on ne peut s’imposer en de justes termes face à la libre autocratie d’une entreprise trop forte pour rester sereine, trop individuelle pour rester normale officielle et libre. Ceux qui lui sont à tout âge des plus attachés nous ont offert le plus d’illusion et cette illusion ne peut composer avec plus d’attachement aux agissements régulièrement investit sans syndrome d’investissement et sans valeur réel de combat. Un combat qui avec ou sans syndrome d’acceptation, est un combat où l’influence est une valeur actuelle, de critique et non d’acceptation d’ une libre entreprise laissée à valeur de combat et non d’envergure décisionnelle d’idées, de posage vers l’autre et non d’imposition guillerette dite unilatérale, l’unilatéralité d’horaires, face à la violation des séquences différentielles dépend de chacun et non d’une unité comme d’un seul homme, multi latéralité et non partage à une soumission naissante et ressuscitant tel un couperet l’honorabilité de biens qui semblent appartenir à nos formes les plus dépassées et les plus haineuses, pour des siècles et des siècles, la subjectivité est non seulement le doute contre lequel rien n’est possible si ce n’est des dettes tribales et libérales des besoins les plus faussées par le crédit dispensé à un seul homme, et les plus lointaines idéologies régionalistes qui sont bien loin de se réjouir doivent retrouver leur objectivité , où la suite à donner est dépendante du sujet où elle ne l’est pas parce qu’elle est soumise de la simple relation à l’improviste à nos manies d’experts, une relation qui unit des intérêts dont nul ne peut se prévaloir quand il n’a besoins que de certains puisque ces intérêts en épargneront toujours d’autres, l’union comme la forces ont des valeurs de l’imaginaire qui subjugue l’autocratie, ainsi la prédation d’une décision est toujours un moindre ressentir que l’auto régularité dont nous oublions trop bien qu’elle fait souffrir l’homme plus que la valeur matérielle de nos économies d’échelles, un conservatisme de travail déchu de sa valeur pécuniaire nourrit l’affectivité à travers les besoins grandis qui manquent au triomphe comme à ce qui se tend à rester limpide ou déshonorant. . Ainsi, la même bataille est durement gagné et c’est le fait important qui triomphe alors qu’on le croyait perdu. Plutôt que de ne proposer aucunes solutions que des idiomes, voyons si à son affectation primaire,dès l’école , il n’en ressort qu’un vocabulaire creux, il est pas moins ignorés des experts médicaux que je ne peux ignorer fonctionner pour les besoins d’une cause idéaliste avant d’employer l’idiome qui est de loin la plus grave latitude et longitude laissé à l’homme face aux évènements, puisque d’autres évènements propices aux pressions futures que j’attends, j’engage l’idiome et par la médisance et par sa procédure antinomique actuelle, place à la jeunesse et à la force culturelle. Il y a en toujours qui diront que ceci cours après jours, que celui qui se cache de la chose donnée par immaturité ou par spontanéité, en arrive à se casser les reins, dont l’élément clé est la passivité de sa propre labilité, sa valeur latente, plus judicieuse quand elle aboutit moins faible en tout cas, tel est ma foi, moins juteuse de nos jours parce que nouvelle puisque devenu la culpabilité théorique d’une société à responsabilité très limite dont la plaidoirie qui se targue de mettre à demeure au pire la Personnalité est dégressive du tout jusqu’à disparaître. Mais à travers une relative dépendance à la nouveauté et à ce qu’est son bonheur à travers la positivité de la mode et non de la vacherie, ce qui reste soigne, sans doute en excès une vacuité juridique comme diront sans doute d’autres matérialités psychologiques à l’écart des idées de qualités, des idées de valeurs qu’on se fait comme les autres sur ce qu’est l’histoire des drames et des hommes. L’idée des médias n’est sans doute jamais la succession des idées qui forment le passif historique, comme d’ailleurs tant d’idées trop bien enfouîtes dans le duel délégué à l’histoire elle-même. Ces histoires drôles, plutôt que de parler de léser de façon rentrée une société physique ont toujours cours, ma critique si elle était officielle n’appartiendrait qu’à l’étrange concession des personnes, là où un lieu de culte qu’on dirait lésé par essence serait inopérant en tout s’il n’était suggéré aux religieux du monde, une façon franche, immodérée et forte de ne rien suggérer que ce qu’ils conservent, en leur demeure, de plus modérée. Une matière noble et grise, faible ou intelligent reste un organe ou organe laissé pour compte, l’aspect symbolique de ce raisonnement n’en est pas si fouillée, qu’ils laissent toujours et encore le pressenti être ressenti selon les potentiels des personnalités que composent les vies. Je cite ce qui peut être bien ou mal,à partir d’une vie qui semble nous échappé au fur et à mesure que s’échappe une connaissance virtuelle et aveugle que nous pratiquons plus ou moins de façon à échapper à notre propre mécanique tout en profitant d’une manière démesurée d’un ou deux principes de base car face à nous,la mémoire se détache des tonnes d’indifférence en nous détruisant ; ce qui n’a finalement été confronté nul part ne l’est pas plus dans une mémoire rentrée à laquelle on s’attaque longtemps après en avoir profité de façon plus que faible. En souffrir et s’en sortir mentalement aigri, à travers cette différence notable et qui va à désensibiliser ceux qui par la parodie académique nous prennent de façon chronique ou professionnelle comme affecté à une cause et une connaissance qui nous échappe. Ce lien profite à la structure telle une structure complète, qui serait la vraie précocité de l’être créé pour défaire chez les faibles ce qu’il a de forts, ou de supérieur. Notre force n’étant de ce point de vue qu’une caricature de la naissance auquel l’aspect puéril de nos intentions positives serait formé en quelques fermetures anatomiques. Sans compter les déchets et les dégâts que l’embryon des aléas a constamment trop responsabilisé, sans critique les mesures de notre potentiel expérimental ne permettent plus de revenir sur ce qui est acquis, des potentiels acquis, investit et sures sur lequel aucun milieu ne peut compter pour mieux vivre, au fonds le bonheur latent d’une contradiction scientifique est définitif chez les experts, pour la petite que, la même vérification a été faite par la nuisance de l’action introverti,les politiques de santé nuisent sans qu’on sache pour soi même s’ils fallaient s’attaquer à ceux qu’on réprimait en mémoire de les oublier ou de les utiliser vraiment à travers notre torture chimique toujours infiniment présente. J’ai à l’esprit cet amalgame consolidateur et non négatif sur la chrétienté, chronologiquement cette stabilisation faible dans la médiocrité est à son apogée territorial, qui se plaindra chez l’ecclésiastique de pouvoir vulgariser la connaissance des milieux précités qui nous augure. Cette thérapie est sans doute capable de vulgariser une éthique de l’action mais surtout pas une éthique sur le temps passé à s’en remettre, que nous apporte donc l’ensemble des citations scientifiques, anatomiques, psychiatriques, antinomiques, si ce n’est la relation qui nous relie au délit, celui qui s’attaque moins à la santé qu’à l’enfermement, celui dont la cause et les conséquences est connue depuis les siècles des lumières et qui restent toujours une situation honteuse. L’hygiène mentale puisqu’il faut bien parler aussi d’elle est un fait honteux à partir d’une situation qui ne l’est plus, tel une révolte sur le concept d’une justice égale à elle même prête à produire à la fois à l’identique tout en restant forte, cela ne signifiant pourtant pas qu’aucune portée juridique déclassée ne lui appartient pas, chaque portée juridique étant par le simple besoin d’aboutir pour prouver autre chose que la chose dénommée, autre chose que la pratique de date à date, dont on voit qu’à elle seule elle posera problème sans le moindre espoir pathologique, souverain, aux frontières du mieux disant du justifiable, alors que s’adresser à soi n’intéresse pas que soi mais bien sur et encore les autres, faut-il rappeler que le soi rappelle l’assurance que l’existence est un nombre, qu’elle est pénétrée par d’autres voix que ses propres convictions religieuses, et que ce vœu pieusement altruiste peut être le vœu de traduire dans une langue que celle qu’on est censé comprendre sans miracle religieux, que ce fantasme religieux dessert jusqu’à la chance laissée à la survivance d’être mesurée ou praticable, gravement traduit par le pléonasme qui est aussi facile à comprendre qu’à connaître fondamentalement comme l’est sans remaniement moderne la discrimination entre hommes, pour une musique ou un aliment, ce qui en soit est un pléonasme puisque le pléonasme discrimine la facilité de se procurer une valeur moins qu’un autre ce qui devient alors un crime, logiquement j’ai une pensée pluraliste qui assassine tout le reste du combat à partir du fait que je suis jamais en phase avec l’activité d’une lutte sans agir, sinon je serais mort dès mon premier génial instinct, dès ma première blessure alors que l’autre est en vie et que mon enfermement de génie le croyait mort. L’enfer puisse nous sauver de la lassitude qui va s’abattre sue ce paradis qu’est la Terre sur nous, à travers une logique d’exclusion due au temps passé mais pas au temps futur, ainsi la quotité explique la froideur suicidaire au quelle votre trajectoire juridique et ma procédure frôlent la faiblesse et la médiocrité d’un duel qui ne peut être accessible aux lecteurs qu’à travers non pas le droit d’instituer le principe de précaution médicale sur au moins une partie des affections nés du principe conceptuel de ma constitution nerveuse ou même mon apparence symbolique. La valeur symbolique si ce n’est à soi même est elle même isolée des relations dont le concept provoque les mêmes douleurs organiques, l’aspect des bonnes transmissions de nos liens juridiques aux vôtres. Pour s’en dissuader de visu, m’entendre ou me comprendre ainsi serait grevé ma fausseté à travers ma certitude. Eux –mêmes sur la foi des jugements rendus, ne font pas souvent qu’ignorer des risques assurés par personne et qui vont bien prêt de l’augmentation spontanée de tensions verbales sans raison aucune, je m’empresse de le dire, que font-ils donc du domaine familial à travers les raisons inexactes dont se prévalent les éléments déréels puisqu’ils sont connus sans doute mieux intériorisés de façon extérieure que chez moi, à travers ma croissance, ou la formation de séquelles auditives. Tout dépends de ce que chacun fait de ses séquelles auditives qui si elles sont un règlement psychotiques n’apportent qu’une affection effective physicienne et non chimique pour l’interprétation physique et non la révélation chimique qui s’innerve encore plus dans l’interprétation encore ignorée du juge. Si l’on . ou plutôt qu’est-ce qui reste en instance de toujours être opposé, d’ailleurs sans trop nous écarter, ne porte pas de jugements, eux mêmes reste aux yeux de l’union comme face contre terre pareil à un jury qui ne siège pas, ou de visu d’un juge occupe d’autres jurés qui ne jugent pas non plus. Nos problèmes ne sont finalement pas issus d’une conjoncture éloignée de la nôtre, nous n’avons mêmes pas d’arguments à défendre, dans le temps ou à présent, rien à travers la nouvelle ou l’ancienne activité ne nous gêne, ce n’est pas un choix, ni même un temps où il fait bon d’occuper le terrain des médiatiques attitudes loin des faits historiques, voire de ce qui les conceptualisent ou rêvent en somme très fort à bulletin secret, un récent sondage s’interroge sur l’abstinence attitude, les contre indications qui l’accompagne ne sont mêmes pas respectées, tout en conceptualisant les critères d’éligibilités, aucun subsiste par mis le concept de conseil attitude « fait ce que je dis, pas ce que je fais », l’affectation nouvelle d’une Nouvelle image mentale est primée au monde attitude : Travaux.scolaires face à l’épée de DAMOCLES.<br /> De ce que les parties en présences ne comprennent pas, nous n’y pouvons rien et nous l’avons vu, on le comprend assez bien quand on conserve son attitude, ce n’est pas la nature des faits reprochés, il n’y a plus de regrets réels sur un mode expiatoire de la part d’une directivité aisée ou d’une officialité basée aisément sur une démesure. Il semble normal de s’inquiéter de la nôtre et pour mieux rester dans une normalité, nous nous pouvons faire valoir la leur. On est loin de pouvoir faire comprendre vis à vis de l’étonnante diversité du sujet, le public et c’est ce que souhaite finalement ce genre d’abus, à travers les lois qui s’appliquent, de s’en écarter, en s’inquiétant des mesures, ou qu’il soit facile d’oublier pour la plupart, il serait aisé d’avancer des termes hors la loi, quant il s’agit de symptômes évolutifs d’une société qui ne connaît rien de son existence, des politiques économiques qui font de ce dysfonctionnement, une fatalité, pourtant nous n’envisageons jamais de nous y faire. Oh rien de précis ou de décelable pour ce public, . Il semble que je me vois m’associer et m’asseoir aussitôt sur une sorte de sublime et équitable vœu, à portée inter changeable, où l’homme fait ce qu’il veut pour moduler le temps et l’espace puisque au fur et à mesure son comportement n’a aucune importance avec sa justesse d’esprit. On va de faits en actes mineurs du même tenant ou de même aboutissant, avec sa propre portée de ce qu’il avancerait à l’intérieur d’une structure plutôt qu’une autre, il n’y a pas cette complémentarité, et non d’une autre façon plus massive, une réalité qui serait plus partagée en nombre que par la science humaine. Ce jugement définit des limites souterraines et minoritaires, il décrit sans danger, des limites qui s’accroissent ou qui diminuent selon la façon de les voir, habilement sans que le sujet soit enclin à dépasser les normes de l’action ou en s’appuyant sur la structure qui l’observe, en sécurisant sur un handicap sans importance, car ce qui ne peut déranger l’autre, ne peut me déranger. Voisin, quelle que soit la cause, elle s’annule sans preuve, cette cause est mal choisie, qu’importe elle n’existe pas, toutefois à force de laisser une force s’imposer sur l’autre, on devient insouciant, et de plus on croit innover en conservant le même cap, sans rechercher des trajectoires sans dangers, sans imputabilité personnelle, comme un plan de soins palliatifs qui ressemblerait à une sauvegarde de folie, là où l’individu est au plus mal naît une action nouvelle, elle sera une fois de plus inopérante sue le social, l’éducation. On la conservera sans excès vis à vis d’une dette publique naturelle, d’un bénéfice vécu de façon majoritaire et ressentie comme le besoin de demain, alors que ce besoin ne peut ressembler trop longtemps à une vision de la demande ou à une offre à la fois inébranlable dans l’avenir qui va venir heurter quelques caractéristiques de la nouvelle donne publique déjà fortement intégrée à la différence inter active des valeurs et des motifs, quand à la suite, peu importe.. Même une maladie sur l’investissement sans fondement et sans date s’écroule devant la jeunesse et la justesse des mots employés par les plus jeunes, la valeur des tutelles n’existe pas et on le sait, si elles sont peu critiqués, c’est que nous les critiquons nous mêmes, mais sans aller au bout, nos critiques sont sans effets, sans doute, il n’y a aucune raison valable à se parfaire à une lutte qui affectivement nous abîme, psychologiquement nous détruit une fois l’erreur occultée par mes semblables, je passe pour quelqu’un qui a le mérite de se contraindre partout, cela revient à se suffire à l’instar de nouvelles indignations si aisées du peuple. Donc à traverser les handicaps qui restent sans fondements avec l’objet du discours, un projet au regard trouble, pourvu d’une souveraineté indigne de foi ou naïve, mais qui gagne, du sujet de droit à la conceptualisation du processus avec un pessimisme de ragot qui est le nôtre. On reste pourtant devant cette ouverture vers les autres, pantois , un regard mal aisée où les autres ne comprennent rien, un entendement qui ne peut s’aligner constamment sur un écoute indignée, les gens passent sur les informations à tout de vitesse, l’une chasse l’autre, la nôtre est loin, comme une vocation de la rappeler sans signe différenciateur, d’ailleurs si je passais mon temps différemment en dénonçant avec partie pris toujours les mêmes, je perdrais mon temps aussi à écouter ou lire, à entreprendre de façon écrite ou orale, une contre valeur ou lors d’une critique contre le règlement même simplement avec talent, ne serais donc plus tellement entendu, que l’on ne m’écouterait qu’à moitié, on intériorisait ensemble, quitte à s’indigner de mon insistance, ce qui serait par influence, une menace vis à vis d’un ordre établi, et quel ordre, celui d’oublier l’influence des officiels à travers la qualité des choix, en concluant , tout va bien car si leur valeur sociale et économique ,vient de l’expertise des échanges, je reste toujours baigné dans ma mère patrie , donc dans un même travail d’expertise qui m’attribue la représentation personnelle d’une mission patriotique, sans confrontation aucune, avec cet étonnant rapport de force qui se sera installer, il s’agira de l’ordre établit, celui le plus aveugle qu’il soit, celui qui fait du copinage, du racolage qui sera exclusif sans objet pour les plus progressistes, là où les gens s’inventent sur le tas, là où j’Omet de dire que je suis passé par là avant de m’éloigner, car c’est tentant, c’est même un réflexe, et que ce passage pré dimensionné de l’État nous affectionne tant. Il n’y a pas droit réel, de droit principal, la crise n’a jamais cesser d’exclure et donc de nous autoriser à nous comporter de façon identique, à la fois comme héros, car certains s’en sortent sans choix, et comme utopiste, puisqu’il s’agit de vivre sans rien d’autre, un idée visionnaire qui fait de mon choix, une idée qui coûte trop chère, de ma personnalité, une vision caractérielle soi disant en progressant ou en choisissant, je ne suis pas là pour ça, pour ma fierté , j’affecte le ressentiment de certains qui vont fuir toutes responsabilités vis de chose extérieure à eux mêmes. . Une sorte de perte de repaire que je n’accepte pas et qu’on vous fait oublier pour accaparer à travers votre bonheur, un autre sens à la vie, on vient d’échapper à une différence mentale, sans comportement détonnant, encore un trouble par mis les sentiments, des sentiments que l’on déplace sans cesse contre vous. Il n’y a pas de suppositions culturelles, scientifiques vis à vis de la légèreté économiques et financières, il y a la différence qui vous appartient, elle est déjà un luxe. Le comportement redevient peu à peu le vôtre mais régresse, quant aux sentiments, s’ils sont trop réels, ils semblent très différents selon les situations officielles. Vos relations des plus indifférenciés, ne sont pas plus intimes que les autres aux yeux du grand monde , tout ce qui reste étranger à vous même, est le bienvenue, hélas, on est souvent très en retrait d’une pratique globale mais certaine de la communication la plus indigne de porter ce nom, des relations sans psychologie et des anti- rapports attendus. On voit naître la réussite des gens qui vivent sans justice, le contraire m’aurait étonné, pour gagner la misère de l’autosatisfaction personnelle en desservant la logique, un médiocre ordre qui par conséquent vit en surcharge, si l’individu surnage, il s’exécute sans comprendre, il n’a plus tord, ni raison, il a face à lui des situations et non des débats, s’il souhaite répondre à tout, il a raison, à charge pour lui de sentir le danger d s’étendre quand il faut en dire un minimum, de ne pas s’en prendre à un fonctionnement standard qu’il veut différent, parce qu’il le pense, vraiment libre dans sa tête mais trop libre vraiment et donc vraiment trop responsable. Il ne s’agit pas d’assumer en s’exécutant au fur et à mesure ou de gré à gré. Voyez le bon gré mal gré est loin de suffire, et les rapports souffrent que nous nous recevions tous sans qu’il nous soit exclusivement dévolu, de conclure utilement.. .partout :<br /> Le théorique une sorte de réponse plus moralisatrice que réalisable, ne pourrait s’extraire seul de l’ensemble d’une communauté ou d’une association, il été par exemple, jugé sur ce point, une trop forte empreinte particulière, pourtant qui souhaite m’attribuer une influence particulière si ce n’est la force générale de la politique globale à l’intérieur du tout, là où l’emprise a disparu pour être remplacé par d’autres. Il est avant tout une empreinte de droit commun, qui sur l’empreinte partisane devient une empreinte de droit communautaire, associatif mais une communauté de biens, une fonction européenne de classe qui ressemble à un monde réel, et non un monde que j’observe sans rien connaître. Évidemment, si ce monde était parfait ou en devenir constant, je le saurais et pour longtemps , pourtant déjà, jeune, ou vieux, dès l’instant que je ne fais rien pour me protéger de ce qui n’irais pas, les rapports de force s’inversent, et vont encore tout changer dès que ma complaisance m’amène à une maladresse ; je vois la confiance régresser partout où le mal guette, à travers une vision plus juste, comment expliquer par ailleurs qu’en bien, tout nous observe, ce qui est reproché par souci de l’ordre bienfaiteur éclaté est partout mal établi car la faute attendu est religieuse, alors qu’elle n’est jamais égal à elle même. de sa vie, anxieux s’extraire et contredire<br />  <br /> Souffrir de l’autre et Non pas de sa pratique loin de ses convictions à laquelle il a droit tout comme vous, émotif, s’extraire du groupe ou ne plus les écouter totalement pour ne pas en souffrir vraiment.<br /> Néanmoins, la douleur physique s’est installé, vous étiez avec un physique énorme, la douleur n’est pas faite pour être potentialisée par un travail de titan, tout reste obscur et tant mieux, sachez au moins ce qui ne ressemble plus à vous nous ressemble maintenant, le propre de notre difficulté reste plein et entier, il est commun de ne pouvoir assurer de façon structurelle sa continuité.<br />  <br /> Si, ON SE REFUSE à toujours reconsidérer la chose on ne peut continuer indéfiniment ainsi, puisque qu’on CONSIDERE A TRAVERS les CHANGEMENTS que les tords sont partagés, surtout si on a raison d’avoir tord, chacun sa responsabilité, Ce sont quand même LES tords, c’est à dire les NOTRES donc les tiens et pas ceux de tout le monde<br />  <br />  <br /> Nous nous sentons obligatoirement tournés vers une conjoncture mortelle, pas de morale, il faut s’y faire, il n’y a pourtant qu’elle, qui a disparue et qui peut revenir, la morale c’est comme la psychanalyse, elle a été créée dans un monde de dupe<br /> Sans auteur reste sans nom, alors il est le principe, il n’est ni le principal, ni l’auteur<br />  <br /> L’analyse, n’a pas non plus la psychanalyse facile, si la morale n’a pas eu l’existence facile, l’honneur a été cerné par des susceptibilités dignes de foi, ainsi  donc s’il fallait tout conceptualisé dans ce hasard vieux comme le monde, ce serait déjà fait, subsiste pourtant une interactivité qui souhaite comprendre par l’exemple ce que les plus forts comprennent sans haine, Faites que les qualités ne soient pas les meilleures morales, mêmes si elles sont contradictoires au possible, seul le mot change et lui seul, ,<br />  <br /> Bien moins enclin à s’instruire des autres, il faut vous l’avouer, pour créer des génies, on en bien plus capable, plutôt que de tout nier en bloc ; son-ce la liberté des consciences, ou celles de ceux qui veulent sans limite pour eux-mêmes et la mort des anciennes valeurs et la vie des nouvelles.. Ces besoins, ceux qui les veulent sont pour toute entrave d’autres libertés au masculin et par mis elles celles qu’on respecte en eux, c’est l’empêtrement de ce qui manquaient aux anciennes et qui demeurent, tel un fossé plus compliqué que jadis, ce qu’ils ont de meilleur, on en doutera d’un seul coup, tout un jour arrive, à travers le mieux disant qui nous encadre, une toute petite valeur supplétive nous assaille, elle s’autorise à régner sur la réalité, l’autorisation de se contenter à travers elle devient réalité, de ce qui il y a de réel avec une vérité si bonne à partager, c’est quelle paraît être utile et utopique à la fois quand on la partage seul, qu’on se voit occulter autour le Phénomène de la normalité écrite des lois, et déjà le plus grave des obstacles utopiques est là, c’est pourquoi qui fait des problèmes à autrui réussi, l’utopie Économique à travers une culture juridique tout aussi douteuse qu’évidente amène la même utopie que celui qui engendre la faute. A l’évidence, celui qui l’introduit, c’est celui qui ne comprend plus la mort d’autrui comme une évidence pour être prêt des faits et loin de l’existence juridique telle qu’on la pratique. , Son bien en vue partout est là où règne un semblant de science humaine, celle qui s’installe, celle qui se refuse, et se vit si mal quand il y règne une énorme résistance à faire confiance à la justice naturelle des contrôles perpétuels et à sa propre réussite. Une sensibilité où l’éducation massive est plus forte que l’éducation de masse, ou un fort déséquilibre doit exterminer une foi où l’effort initiateur n’a rien à commander qu’à faire durer. Par mis les innombrables progrès humains qui trouvent une différence, la culture face à la contre culture dont se targuent certains pour offenser la loi a des difficultés pour créer sa conception sacrée, de même pour faire en sorte de réguler nos lois, il faut les utiliser. L’art de travailler vis à vis des règles établis ou qui encadrent le travail, c’est aussi l’art de s’exclure quand aucune loi n’est capable de sanctionner autant l’art au sein des règles de l’art, l’art est réglé, les preuves concomitantes ne sont pourtant pas parallèles, comparables, plaçables, imputabilités des artistes de la justice et des autres face à la façon dont la justice colle à l’épreuve ou au sujet. Souvent prêt du besoin du justiciable, du coopérant, du réaliste, du fautif qui va souvent se taire face aux réalités conceptuelles..<br />  <br />  <br />  <br /> <br /> Le déroulement de nos études et de nos recherches est ailleurs dès qu’il est mal évalué. ’Il est justifié normal vu la situation anormale des élèves, des étudiants, ainsi si la trésorière générale parle de bourses, il sera encore plus ardu de devoir lutter contre l’effort garanti. Prêt de nos salaires ou en dehors de toutes implications structurelles, qui croire. ?<br /> Nos partenaires sociaux et éducatifs, ne sont pas les mêmes partout et nous nous en sommes porter garant.<br /> L’Accomplissement de notre travail  que ce soit ici ou ailleurs, en région, où l’emploi des compétences ou d’activités semblent un sujet non dévoilé par l’absentéisme ou simplement celui qui ne signale rien d’autres<br /> Il n’est plus là le temps de ceux qui qualitativement ont tord ou raison et quantitativement gagne sur la vétusté d’âme, certains conservaient la mémoire de faits sans les faits. Alors, si on vit ailleurs partout où la vraisemblance nous fait régner faussement, attendons, prudence est ère de sainteté, Quant à la sûreté, elle ne ressemble à rien. Encore moins ceux épris de rancœur et d’incohérence TRIOMPHE ENCORE ? La preuve en est-le<br /> Souci des risques mis en œuvre malgré moi, et la valeur de principe qui arrange avec ou sans moi peu de risques,<br />  <br /> En science de la société, j’entends les plus proches de la planification et de ses agrégats, et les plus loin de mon sujet on trouve l’aliénation mentale, celle qui se soigne comme se soigne celle qui n’est pas apte au changement. On s’empare de notre conscience. résistance à la névrose<br /> semer chez nous une colère tout autant vers soi mais surtout vers les autres,<br />  <br /> Tourisme, et d’ailleurs rien n’empêche le ministère de conclure.<br /> Travail, éducation, formations universitaires<br />  <br /> en tant qu’objet de désir, qui va enrichir plus tard notre normalité<br /> <br /> en tout cas aspirations, notre dynamisme et nos ambitions.<br /> Aménagé ou déclassé selon les interprétations sociales,sensitives voire intimes de leur entourage<br />  <br />  <br /> <br /> Je n’imaginais pas à quel point les réactions décevantes sur sa propre expérience…<br />  <br />  <br /> Ceux et celles qui sont passés par des chemins détournés tout aussi difficile prônent essentiellement la rupture quasi-immédiate, sans sensitivité particulière, certains prônent la volonté de s’extraire d’un îlot sans fil conducteur reprenant un maigre destin ou une petite trajectoire avec parfois quelques rebonds<br /> obstacles<br /> plus ou moins influent Marqué par le destin,<br /> cette trajectoire totale<br /> prémices de leur nouveau comportement s’il fallait vraiment le changer<br />  <br /> , ils ont pour la plupart réintégrer une marque réelle empruntant leurs repaires à travers leurs habitudes sans souci d’une trajectoire préalablement disparu et occulté par la lutte déloyale qu’on leur impose, marqué par un aveuglement profond destructeur de moyens quant ce n’est pas des passages en force de ceux qui de façon claire par l’avancée idéale d’une mission symbolique ou d’une destruction saccadée, se font voir rapidement plus vite comme symbole d’exclusion et de danger<br />  <br /> Une démarche monstrueuse sans respect pour la normalité qui vise un attentisme et une susceptibilité qui va de l’autre vers soi, pensant alors ne plus céder à ceux qui ne sont plus en mesure de les suivre, une influence qui envahis strictement notre passé et qui est fortement controversé dès qu’on y justifie une spécificité imputable qui reste conceptualisé par le manque d’inertie et de probabilité<br /> Évaluation à un bilan grossier des individus. Crédibilité ruineuse<br /> <br /> <br /> cette force et souvent vous-même doit un jour se contraindre à se valoriser sans crainte<br /> Changer au-delà de la chose poursuivie avec<br />  <br /> ambition :détriment préalable sans qu’un seul regret pointe.<br /> de ce conservatisme à deux vitesses<br />  <br />  <br /> Outrancier :volontairement nos objectifs tournent court,<br />  <br /> le contrôle se<br /> Vérifie<br /> avec des outils qui donnent les mêmes preuves,<br /> dispose de structures<br /> de stratégies en nombre incalculable, à posteriori, on devrait obliger à moins d’individualisme, pourtant ce dernier est présent dès l’origine de la vie car on ne sait jamais à qui on doit sa vie, ce que l’on sait, c’est ce que l’on croit savoir, à travers ses études, ses sens, ses défoulements, à travers son existence et ce qu’on y met, à travers ses pensées, son existence, notre structure s’abîme si elle n’est pas d’emblée attardée à d’autres potentiels pour ce que l’on vit sans choisir, pour ce que l’on choisit sans contrainte notre structure s’abîme moins, la contrainte ressemble à une légitimité que l’autorité blesse à la fois par le hasard, quand il est durement ressentit<br /> Par l’activité réelle d’une réflexion unique, une pensée unique. Cette dernière est souvent plus une contrariété sensitive qu’une libération partielle d’un trop plein qui détermine notre détermination volontaire à évacuer ce qui dérange une structure particulière. A travers une structure on trouve plusieurs types de personnalité dominante, est-ce à dire que la psychologie est moins contraignante qu’une bonne dose de psychotropes, qu’une prévention comme une guérison est soumise à moindre mesure pharmaceutique, plus qu’ailleurs le côté péjoratif qu’on accorde à une science telle que la science qui affine des remèdes n’est pas logique, on ne sait pas encore qu’un psychiatre affine ou complète la liste magique du généraliste, soigne bien mieux le mal de tête qu’un rhumatologue et opère une séance de dialogue qui même si vous croyez que rien en ressort vous fait du bien à travers le discours parfois méchant de votre psychiatre<br />  <br /> [modifier][modifier][modifier][modifier][modifier][modifier]
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A
On a le choix entre deux formules, aussi explicites l'une que l'autre : ou bien "le bateau sans gouvernail", ou bien "il n'y a plus de pilote dans l'avion"... dans l'un ou l'autre cas, une chose est certaine, on va se casser la ...figure !La cacophonie continue....le Président n'aime pas son Premier Ministre et le désavoue, le Premier Ministre ne s'entend pas avec certains de ses ministres et les contredit, Le Président de l'UMP fait des déclarations publiques aussitôt démenties par la garde rapprochée du Président de la République, Le Président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale ne tient plus ses "troupes"... chacun "roule pour soi" et le désordre s'installe. Le Président tempête et croit gouverner en prenant des mesures autoritaires dont on peut espérer, en ce qui nous concerne, qu'elles vont finir par exaspérer tout le monde, et que les citoyens en tireront enfin les conséquences. Mais quel spectacle !!Trouvant une raison d'espérer, M. Sarkozy a dit hier, devant je ne sais quel journaliste, qu'il compte sur son ami Estrosi pour remettre de l'ordre au sein du groupe UMP de l'Assemblée Nationale. En effet M. Estrosi n'aime ni M. Devedjian, ni M.Copé, ni, sans doute M. Fillon .... et il va réapparaître à l'Assemblée Nationale ! Ses petits voyages à Paris lui manquent beaucoup! Mais il faudra attendre encore un petit moment. Dimanche dernier...il a échoué dans la reconquête de son ex-mandat de député..parce que ses électeurs, malgré une campagne tonitruante dont il a le secret, se sont abstenu d'aller voter ; même arrivé en tête, il n'a pas obtenu les 25% des inscrits nécessaires pour être élu au premier tour. Il va donc falloir revoter dimanche prochain.... Ce qui devait être une victoire triomphale devient un flop minable ! Il n'empêche qu'il sera sans doute élu, et qu'il pourra prêter main forte à son cher Président..... s'il en trouve le temps.... Parce que M. Estrosi, devenu maire de Nice aux dernières élections municipales,(une ville de 400 000 habitants, quand même!) a aussi conservé son mandat de Président du Conseil Général, la Présidence de la CANCA.... et bientôt un mandat de député, assorti de la lourde mission de faire régner l'ordre dans les rangs de l'UMP... et, croyez-en ma vieille expérience, puisque je le connais depuis "l'ère Médecin", si on compte sur lui pour reprendre "le gouvernail"... on va être gâtés !On pourrait souhaiter que la gauche en profite pour donner une image cohérente et unie, capable de formuler des propositions solides. Hélas ! quand on a assisté hier soir au spectacle déprimant donné par Vincent Peillon à "Mots Croisés", on ne peut que rester très sceptique! ... Et tu auras remarqué, Jean- Marie, que ce soutien fidèle de Mme Royal a approuvé Mme Pécresse dans sa défense, entres autres, du service minimum à l'école...Comment pouvons nous espérer, dans ces conditions, que les citoyens de ce pays reprennent goût au débat politique?
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R
Sur les 35 heures et plus particuliérement sur les contingents d'heures supplémentaires pouvant etre effectuer par un salarié à l'année et soit fixer par accord collectif d'entreprise ou à défaut conventionnellement, mais ces la que le bas blesse, car dèjas selon la loi fillion de 2004 sur le dialogue sociale, il y avait déjà une possibilité pour les employeurs de négocier des accords en dessous des convention collective, à condition toutefois qu'il y est des OS ou à défaut un CE ou à défaut des DP ou à défaut un référendum de l'ensemble des salariés "exemple DUMPLOP pour revenir au 39 heure, on à vue le résultat une usine à fermer et pendant ce temps les salarié on travailler plus pour garder leur emploi et finalement l'usine ferme! et les salariés sont licencier pour motif économique!"De plus tous ces effets d'annonce non rien de nouveau, ils existent déjà dans la loi et ceux avant SARKO et ses sous frifes.Par contre ce qui pourrait se passer, ces que les 35 heures soit vider de leurs sens et ce n'est pas nouveau rappele vous les 40 heures et les 39 heures, en comparant vous vous apercevrait que ces les meme arguments qui sont ressortis de leurs cartons par ces libéraux qui ne pensent qu'as une chose s'enrichirent sur ceux qui trimment pour eux et en plus ils nous licencie.à méditer.ROBERT Frédéric
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P
http://mirelimousin.unblog.fr
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